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grand débat national - Page 3

  • ENFIN A VANVES UNE REUNION DU GRAND DEBAT NATIONAL

    Rien d’étonnant à Vanves, comme dans la 10éme circonscription des Hauts de Seine (Vanves/Issy), il ne fallait pas s’attendre à autre chose qu’un service service minimum pour le grand débat national, que l’ouverture d’un cahier de doléances à l’hôtel de ville. Heureusement, les marcheurs n’ont pas attendus pour prendre l’initiative, avec leur député, Florence Provendier, en organisant deux réunions à Issy les Moulineaux, dont une Lundi soir à l’hôtel Ibis (rue JJ Rousseau à 20H)  et une à Vanves le 21 Février à l’école Max Fourestier entre 19H30 et 22H30, dont le préau est le plus petit des écoles proposés pour de telles réunions, histoire d’empêcher qu'il y ait trop de monde. En tous les cas, beaucoup le pensent. 

    Ce qui n’empêchera pas les vanvéens, à l’invitation des marcheurs, de débattre sur les thématiques suivantes :

    - Comment mieux accompagner les Français dans leur vie quotidienne pour se loger, se déplacer, se chauffer ?

    - Comment rendre notre fiscalité plus juste, plus efficace, plus compétitive et plus lisible ?

    - Comment faire évoluer la pratique de la démocratie et de la citoyenneté ?

    - Comment faire évoluer l’organisation de l’État et des services publiques pour les rendre plus proches des Français et plus efficaces ? 

    «Les contributions qui émergeront des échanges seront partagées entre tous et ne seront pas labellisées En Marche» indiquent les animateurs d’En Marche à Vanves

  • GRAND DEBAT NATIONAL A VANVES : SERVICE MINIMUM ET PREMIERES DOLEANCES

    Depuis lundi dernier (et non mardi), les vanvéens peuvent venir remplir le cahier de citoyens mis à leur disposition dans le hall de l’hôtel de ville jusqu’au 15 Mars prochain. En complément, 4 permanences décentralisées pour recueillir les doléances des Vanvéens seront proposées :  Samedi 2 et 9  février 2019 de 10h-12h à l'Espace La Tuilerie sur le plateau, samedi 23 février et 9 mars de 10h-12h à l'Espace Latapie dans les Hauts de Vanves

    Le Blog de Vanves au Quotidien a demandé à quelques vanvéens, ces derniers jours ce qu’ils écriraient sur le cahier doléances de la ville de Vanves, sachant que selon le journaliste (vanvéen) Bruno Jeudy, «Macron préfère l'expression de «cahier des droits et devoirs» plutot que «cahier de doléances» car, dit-il, «ça voudrait dire qu'il y a un souverain qui pourrait donner des choses». Dés les premiéres réactions au café du commerce, c’est très clair : «Que les pensions ne soient pas amputées, qu’il revalorise nos retraites, qu’il dégréve la taxe d’habitation pour tout le monde» demande une retraitée en ajoutant « Qu’il ne nous casse pas les pieds avec des référendums, cela ne sert à rien, car les français répondent à côté de la question ». Alors qu’un actif, prenant son café considère « qu’il est nécessaire d’améliorer le pouvoir d’achat des français. Comme cela, il n’y aura pas de gilets jaunes ». Tout cela dit sur un ton légèrement excédé : « Que Macron fasse ce qu’il dit ! C’est très beau ce qu’il a promis, et va coûter 10 milliards, mais qu’il le fasse, comme devant les maires lorsqu’il a pris des engagements lors de ces débats qu’on a vu à la TV ! »

    « J’ai lu sa lettre aux Français » ajoute un autre vanvéen en listant ce qu’il écrirait sur le cahier de citoyens : « Réduire d’un tiers le Sénat et l’assemblée Nationale, remettre en vigueur les 90 km/h, baisser de 2 points la TVA, revoir les tarifs des autoroutes, car c’est un scandale ! »…  « Mais je suis heureux ! Si je veux de l’argent, une augmentation, je vais voir mon patron ! » explique son voisin, pas du tout macroniste en ajoutant : «Macron demande l’avis des Français, mais cela va changer quoi ! » - «Mais qu’ils arrêtent de fermer les quais (de Seine), de mettre des vélos partout ! Cela devient infernal ! » ajoute un artisan vanvéen (qui doit circuler beaucoup dans Paris)

    Une habitante du Plateau constate « qu’on parle beaucoup de villages qui perdent leurs services publics, mais dans une ville comme Vanves en région parisienne, dans un quartier, comme le Plateau, où il y a du monde, on supprime un bureau de poste ! ». D’ailleurs, sur la commune, beaucoup font état, comme dans les réunions de quartier, de revendications très terre à terre : « J’écrirais «revoir le carrefour du Clos Montholon», car c’est l’enfer avenue de la Paix pour passer le pont, avec Lidl et le chantier du métro ! » tonne un habitué etc… 

  • GABRIEL ATTAL, LE MINISTRE DE VANVES CHARGE DE MONTER AU CRENEAU POUR DEFENDRE LES REFORMES ET LE GRAND DEBAT

    Malgré ses difficultés, le chef de l'État n'a pas renoncé à poursuivre les réformes. Pour porter les dossiers chauds de 2019, alors qu’il lance un grand débat public, il compte sur cinq ministres ou secrétaires d'État qui seront propulsés en première ligne : Marc Fesneau, chargé des relations avec le parlement, Olivier Dussopt chargé dela réforme de la fonction publique, Brune Poirson et Emmanuelle Wargon, chargées de la transition écologique, et Gabriel Attal, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale, chargée de la Jeunesse.

    Le benjamin du gouvernement à 29 ans, s'attelle à la mise en œuvre d'un serpent de mer: le service national universel (SNU). Il assure que le projet «correspond en tout point à l'engagement» de Macron. Expérimenté au printemps 2019 puis étendu pour concerner toute une classe d'âge en 2026, le SNU devrait consister en un mois obligatoire d'engagement autour de l'âge de 16 ans, suivi d'au moins trois mois sur la base du volontariat. Gabriel Attal devra convaincre des oppositions qui, à l'image des LR, dénoncent «un pseudo-service national «loufoque».

    Mais ce n’est pas tout, car il fait parti des secrétaires d’Etat qui, d’ores et déjà, ont annoncés qu’ils prendraient part au grand débat, avec Mounir Mahjoubi, Brune Poirson et Marlène Schiappa. Rappelez-vous, il a été le seul ministre à accepter de participer  l’édition spéciale de France 2 sur les gilets jaunes après le premier wee-end insurrectionel face à Jean luc Mélenchon. «Plutôt qu’un « Acte V », c’est un acte de responsabilité que l’on attend des Gilets Jaunes. Les violences des derniers samedi sont inacceptables. Des commerçants souffrent pour leur activité ! » avait il déclaré à la veille d’un nouveau samedi, le 15 Décembre, de manifestations, en ajoutant «Les Gilets Jaunes, ça a commencé par une hausse de taxe qui a été abandonnée. Ça s’est poursuivi sur le niveau des salaires et le Président a fait des annonces massives. Donc maintenant il faut passer à autre chose, c’est à dire le dialogue ! »

    Un peu plus tard, toujours, toujours, en décembre, il était à Tours (sur la photo) pour échanger sur le grand débat national: «Ce mouvement des Gilets Jaunes valide le constat porté par Emmanuel Macron  pendant la présidentielle sur les « Deux France ». Il valide aussi notre volonté que le travail paie mieux, c’est pour ça qu’on accélère sur ce point » expliquait il. « On a pas été élus pour « attendre ». En revanche, on adapte notre méthode pour permettre à tous les Français qui le souhaitent de participer, c’est le sens du nouveau contrat avec la Nation et des débats qui vont s’engager » ajoutait il